Le Défi Psycho-Plume

Chaque matin, une nouvelle consigne sera publiée ci dessous

Tu pourras aussi la retrouver sur Telegram, où tu peux, si tu le souhaites, partager ton texte, lire ceux des autres, et recevoir un retour bienveillant.

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Jour 1 du défi Psycho-Plume

Aujourd’hui, je t’invite à ouvrir doucement l’espace, sans attente, sans enjeu.
Juste écrire, comme on entrouvre une fenêtre.

✍️ La consigne du jour :

Commence par cette phrase : “Je ne savais pas que c’était encore là…”

Laisse-la t’emmener quelque part. Un souvenir, une sensation, un mot oublié.
N’analyse pas. N’anticipe pas.
Juste laisse venir ce qui insiste doucement.

Prends l’élan qui est là — même minuscule.
Ta plume n’a rien à prouver.
Elle sait.

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Jour 2 du défi Psycho-Plume

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Aujourd’hui, je t’invite à écrire ce que tu n’as jamais osé dire.

Un mot retenu. Une phrase jamais prononcée. Un secret resté dans l’ombre.
Quelque chose que tu portes, mais que tu n’as encore jamais formulé, même à voix basse.

✍️ Consigne du jour :

Écris une phrase que tu n’as jamais dite.
Tu peux commencer par :

“Je ne l’ai jamais dit, mais…”
ou
“J’aurais voulu lui dire que…”

Tu peux écrire une seule phrase.
Ou laisser venir un texte entier.
Tu peux aussi ne pas tout écrire, juste frôler, tourner autour.

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Jour 3 du défi Psycho-Plume

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✍️ Consigne du jour :

 

Aujourd'hui, je t'invite à écrire sur quelque chose que tu as perdu… sans vraiment t’en apercevoir sur le moment.
Quelque chose qui s’est effacé, dilué, oublié — et dont tu as réalisé l’absence bien plus tard.

Ce peut être un lien, une habitude, une part de toi, un lieu, un rêve, une envie…
Tu peux l’évoquer de manière directe ou symbolique.

Tu peux commencer par :

• “Je ne sais pas quand c’est parti, mais…”

• “Un jour, sans m’en rendre compte, j’ai cessé de…”

• “Je crois que c’est là que j’ai perdu…”

Écris librement, à ton rythme.

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Jour 4 du défi Psycho-Plume

 

✍️ Consigne du jour :

 

Écris sur ce que tu n’as pas osé demander.
Un besoin resté coincé dans la gorge.
Une attente étouffée.
Une phrase jamais formulée : « J’aurais eu besoin que tu… »

Pas pour accuser.
Mais pour libérer.
Pour te relier à cette version de toi qui n’a pas été entendue.
Et pour lui donner enfin la parole.

Tu peux commencer par :
➡️ Je ne l’ai jamais demandé, mais j’aurais eu besoin que…
➡️ Ce que je n’ai pas osé formuler, c’est…
➡️ J’aurais aimé que quelqu’un me dise…

Tu peux écrire à la première ou à la troisième personne, en prose ou en vers. Ce qui compte, c’est d’aller là où l’écriture appelle.

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Jour 5 du défi Psycho-Plume

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✍️ Consigne du jour :

 Écris une lettre à ton corps.

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À ce corps que tu habites chaque jour, mais auquel tu parles si rarement.
Celui que tu juges, que tu protèges, que tu caches peut-être… ou que tu redécouvres lentement.

Que lui dirais-tu, si tu pouvais t’adresser à lui avec douceur, honnêteté, ou même colère ?

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Tu peux écrire :
— à une partie précise de ton corps
— au corps d’aujourd’hui ou à celui d’un autre moment de ta vie
— à ton corps comme à un compagnon de route fidèle (ou cabossé)

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Tu peux commencer par :
✍️ « Mon corps, il faut que je te dise… »
✍️ « J’ai mis du temps à t’aimer… »
✍️ « Aujourd’hui, je voudrais te remercier… »
✍️ « Je suis désolée pour… »

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Merci d’être là. Merci d’écrire.

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Jour 6 du défi Psycho-Plume

 

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✍️ Consigne du jour :

 

 Écris sur ce qui t’apaise.

 

Pas ce qui te soigne ou te sauve.

Mais ces petites choses, parfois minuscules, qui t’aident à revenir à toi, à te sentir vivant·e, ou simplement un peu plus en paix.

 

Tu peux écrire un texte en forme de liste, de poème, de lettre à un instant ou à un lieu.

Tu peux commencer par :

 

“Je me sens bien quand…”

“C’est là que je respire enfin…”

“Je garde en moi…”

“Ce que j’aime, tout doucement…”

L’idée est de nommer ce qui soutient.

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Jour 7 du défi Psycho-Plume

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Aujourd’hui, on ferme doucement la parenthèse du défi…
Mais ce n’est pas une fin.
C’est un passage.

Depuis une semaine, tu as ouvert des brèches.
Tu as écrit ce qui était là, parfois enfoui, parfois lumineux.
Tu as laissé ta plume respirer à ta place.
Aujourd’hui, je t’invite à lui tendre la main une dernière fois, non pas pour revenir en arrière…
Mais pour aller vers.

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✍️ Consigne du jour :

 

🕊️ Écris un texte dans lequel tu imagines un futur dans lequel tu te sens bien.
Pas besoin d’un grand rêve irréaliste.
Juste un moment possible. Un fragment de toi, dans quelques mois ou quelques années, qui respire mieux.
Un paysage dans lequel tu te sentirais à ta place.
Un détail qui ferait toute la différence.
Un instant où la paix serait revenue, ou peut-être apparue pour la première fois.

✨ Tu peux commencer par :
— « Un jour, je me lèverai et… »
— « Je ne sais pas encore comment, mais je me vois… »
— « C’est une journée simple, et pourtant je me sens… »

Écris pour ouvrir.
Écris pour esquisser ce qui est encore flou.
Écris pour faire un pas vers ce que tu veux, en silence, à ta manière.

Et si tu n’écris pas aujourd’hui, reste en lien avec ce que ce jour t’inspire.

Merci pour ta présence durant cette semaine.
Ta plume sait où te retrouver. 🕊️

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